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Machines à dormir est un livre composé par Wiame Haddad, Léa Morin et Montasser Drissi. Il se déploie à partir de la photographie de Wiame Haddad À propos d’une chambre occupée (vision d’une soirée d’octobre 1961) et de photogrammes de chambres — comme espaces de colères et de luttes — tirés de films militants des années 1960 et 1970. Il présente des archives et des documents des grèves des loyers et des mobilisations antiracistes des années 1970 (Sonacotra, Mouvement des travailleurs arabes), associés aux regards engagés de Jean-Louis Boissier, Monique Hervo et Élie Kagan sur le mal-logement. Il procède par collage, démontage, remontage, avec, aussi, des manifestes et des témoignages de Madeleine Beauséjour, Michèle Acquaviva-Pache, François Maspero et Med Hondo.
S’y mêlent les contributions de Samia Henni, Victorine Grataloup, Hajer Ben Boubaker, Léa Morin et Philippe Artières.












      

1976. Un texte féministe de libération.

De son parcours de militante et son vécu de cinéaste, Heiny Srour révèle les maux, les combats et les doutes qui l’assaillent lors de la réalisation de son premier long métrage sur l’engagement révolutionnaire des femmes, L’heure de la libération a sonné.
Avec humour, révolte et puissance, elle met au jour la violence des réactions provoquées par le film. Ses camarades militants lui reprochent de laisser trop de place au féminisme et pas assez aux luttes. Les féministes françaises lui reprochent d’avoir un regard « trop masculin » car son film montrerait trop d’armes. Et quand un cinéaste latino-américain salue son travail... c’est en lui disant qu’elle a « des couilles ».
En déployant une réflexion accessible et essentielle sur les systèmes de domination que constituent le patriarcat et le colonialisme, la cinéaste libanaise Heiny Srour affirme la nécessité d’articuler les combats.
Ce texte-manifeste bouscule et participe à outiller nos mouvements militants contemporains.








EN ATTENDANT OMAR GATLATO SAUVEGARDE


Regards sur le cinéma algérien (1979)
Introduction fragmentaire au cinéma tunisien (1979)
La Cinémathèque algérienne : laboratoire de la culture post-coloniale (2023)

De Wassyla Tamzali

Co-édition : Editions Motifs (Alger), Archives Bouanani (Maroc) et Talitha (Rennes)

Collection INTILAK, cinéma reconstitué

400p. 200 illustrations – 15 X 23 cm  
Graphisme : Louise Dib, Studio Chimbo

DISPONIBLE EN LIBRAIRIES

︎ Prix de vente : 25 e - 150 dhs - 3000 da 

Distribution/Diffusion : Serendip - Paon Diffusion

Pour commander et recevoir un exemplaire :
︎s’adresser à vos libraires (France, Belgique, Suisse, Maroc, Algérie)
︎ ou directement à talitha.contact@gmail.com (frais de port : 5 e)
︎Éditions Motifs (Algérie) 
︎Archives Bouanani (Maroc) 


︎ Pour en lire + sur le livre 











    

Voyage Permanent est un recueil de textes et poèmes écrits en arabe, en français et en polonais par le cinéaste, poète et écrivain marocain Abdelkader Lagtaâ, des années 1960 au début des années 1980. L’ouvrage présente et contextualise son œuvre inédite comme un voyage permanent entre le Maroc et la Pologne ; entre guérilla linguistique, pratiques conceptuelles et poésie concrète ; entre ses activités militantes et son apprentissage du cinéma à l’école de Łódź ; entre le polonais, le français et l’arabe ; entre l’extrême gauche littéraire marocaine et les cercles de l’avant-garde artistique polonaise.

Une œuvre ancrée dans les luttes tricontinentales et les mouvements d’opposition au Maroc : quand réinventer le langage est une urgence à la fois poétique et politique, quand le poème est une arme. 





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