Programmer le cinéma
À l’invitation de cinémas, festivals, associations ou institutions partenaires, TALITHA propose...
À l’invitation de cinémas, festivals, associations ou institutions partenaires, TALITHA propose...
Photogramme de Fatma 75, de Salma Baccar
RE-TRACER, MOHAMED ZINET
Atelier de recherche (et édition artisanale) + projections︎ Café Théodore, Trédrez Locquemau
Samedi 2 novembre 2024 de 10h à 22h30
À l’invitation de l’association 20 000 docs sur Terre dans le cadre du Mois du Film Documentaire.
Inscription : 20000docssurlaterre@gmail.com
︎PLUS D’INFORMATIONS
Tokyo Reels
Subversive Film (Reem Shilleh et Mohanad Yaqubi)X
Some Strings
Gestes filmiques pour la Palestine (2024)︎ La Parcheminerie, Rennes. Festival OBSKURA 04
Vernissage le 4 juillet 2024 à 18h
TOKYO REELS
Installation de 20 films 16 mm numérisés et 20 livrets de documentation
SOME STRINGS
5 programmes de films courts
︎PLUS D’INFORMATIONS TOKYO REELS
︎PLUS D’INFORMATIONS SOME STRINGS
Des années 1960 à nos jours, de Tokyo à Bogota, des cinéastes s’engagent en solidarité avec La Palestine.
︎ Horaires :
Jeudi 4 juillet,
De 18h à 21h Tokyo Reels
De 21h à minuit : Some Strings P1, P2 et P3
Vendredi 5 juillet
de 14h à 16h : Some Strings P4 et P5
De 16h à minuit : Tokyo Reels
Samedi 6 juillet
de 14h à 18h : Some Strings P1, P2, P3, P4 et P5
De 18h à minuit : Tokyo Reels
LABOMINABLE/NAVIRE ARGO
X
TALITHA
Projection 16mm dans les anciens laboratoires Eclair
︎1er juin 2024 - 19h et 21h
Une séance en 16mm de deux courts métrages du cinéaste et dramaturge Julius Amédée Laou, en sa présence.
Solitaire à Micro Ouvert (1984, 18min) : à la suite d'un meurtre raciste, un homme prend en otage les locaux d’une radio libre antillaise de Paris, et s'adresse à sa communauté.
Mélodie de brumes à Paris (1985, 22min) : le Paris du milieu des années 80, les traumatismes post-coloniaux, l'errance
Mélodie de brumes à Paris (1985, 22min) : le Paris du milieu des années 80, les traumatismes post-coloniaux, l'errance
Éditer, restaurer, archiver.
Du papier, de l’encre, de la pellicule et des boîtesprendre soin des récits multiples et abîmés du cinéma
7 novembre 2023 :
WASSYLA TAMZALI, QUI SOMMES-NOUS SANS UNE NARRATION ?
+ LA ZERDA de Assia Djebar, 1982, 60 min, Algérie
8 novembre 2023 :
YA FRANCA, YA FRANCA de Rabia Teguia, 1980, 11 min, France
+ KOMAN I LÉ LA SOURS (SOURCE CITY) de Madeleine Beauséjour, 26 min, 1987, La Réunion
9 novembre 2023 :
LES AMBASSADEUR de Naceur Ktari, 1976, 102 min, France-Tunisie
+ NAR (le feu), agence IM’média, 2023, 3′
︎ Cinéma Spoutnik, Genève
︎PLUS D’INFORMATIONS
René Vautier, pour un cinéma d’intervention sociale.
Pellicule et cicatrices : inachevés, rushes, marges censures et destructions.
Le glas (1968, 5 min)
Techniquement si simple (1971, 10 min)
Un Homme est mort (entretien avec Vautier autour de son film perdu, Tv Trégor, 10 min)
Les ajoncs (1970, 12 min)
Le remords (1973, 12 min)
Fort du Conquet destruction des archives Vautier (1985, 7 min)
︎ L'Imagerie centre d'art, 19 rue Jean Savidan, 22300 Lannion
Avec l’association 20 000 docs sur la terre.
En partenariat avec L’Imagerie centre d’art et Le manoir La mutante - Tiers Lieu.
Merci à la Cinémathèque de Bretagne.
︎16 septembre 2023 à 20h30
︎PLUS D’INFORMATIONS
YA FRANCA, YA FRANCA
Avec Med Hondo, Nora Seni, Djouhra Abouda et Alain Bonnamy, Rabia Teguia, Anne-Marie Lallement, Naceur Ktari, Julius Amédée Laou, Sarah Maldoror, Sidney Sokhona et le Collectif Mohamed.
Monologue libérateur, conte anticolonial, cri de rage, ciné-poème politique, collage accusateur, portrait sociologique, manifeste féministe, film choral guérilla ou comédie anti-raciste, les films du programme YA FRANCA, YA FRANCA traversent les tensions politiques et sociales de la France de la fin des années 1970 au milieu des années 1980, marquée par les crimes racistes postcoloniaux et les luttes contre le « colonialisme à domicile ».
Des cinéastes qui affirment la force du déplacement, de la lutte, du tumulte, du détournement, de la ruse et du piratage, à contrario des discours dominants.
︎Bi Bak, Sinema Transtopia, Berlin
︎du 9 au 18 février 2023
︎PLUS D’INFORMATIONS
Photogramme du film «Solitaire à micro ouvert » de Julius Amédée Laou (1983)
LES RÊVES N’ONT PAS DE TITRE
LE CINÉMA, UNE ARME : ciné-luttes, ciné-mouvements et ciné-géographies
Pour son installation cinématographique Les Rêves n’ont pas de titre, présenté au Pavillon français de la Biennale de Venise en 2022, l’artiste franco-algérienne Zineb Sedira a recourt au récit autobiographique, à la fiction et au documentaire pour explorer les récits historiques négligés et penser les imbrications du cinéma et du politique. Elle évoque, notamment à travers le rôle central de la production cinématographique algérienne, les solidarités intellectuelles et artistiques internationales passées et présentes.
En écho, le programme de films - conçu par Talitha - « Le Cinéma, une arme : ciné-luttes, ciné-mouvements et ciné-géographies » propose une pluralité de voix et de dispositifs de réflexion cinématographique sur le potentiel politique actuel des luttes décoloniales et anti-racistes du passé.
« Le Cinéma, une arme » emprunte son titre au programme de films et de rencontres organisé par la Cinémathèque Algérienne en parallèle de la 4ème Conférence des Pays Non-Alignés en septembre 1973 à Alger.
︎Institut Français de Berlin, Juin 2022
︎Institut français du Cambodge, Janvier 2023
︎PLUS D’INFORMATIONS
TALITHA-CINIMA 3
A la fin des années 60, des questions d’identités traversent quelques cinéastes marocains:
Qui sommes-nous au fond ? Comment nous représenter ? En héros, comme dans les films des blancs ? Quoi raconter quand on nous a confisqué notre histoire ?
Réponses: Fuck Universal Studios,
(re)partir de la rue, des bars et cafés populaires de Casablanca et surtout du tas de questions et de doutes qui sommeillent. Ainsi, DE QUELQUES ÉVÉNEMENTS SANS SIGNIFICATION et TITRE PROVISOIRE réalisés par Mostafa Derkaoui, deux films de psychanalyse collective à ciel ouvert magnifiquement bordéliques. La méthode Derkaoui c’est de mobiliser du monde (militants marxistes, artistes, ouvrier.e.s et autres personnages lambdas), provoquer de la rencontre et voir ce qui se dit. Faire l’état des lieux de sa communauté. Ça nous touche, ça nous inspire, on se demande si ça ne devrait pas arriver plus souvent au cinéma et dans nos vies, tous les jours. (...)
Tom et Nathan, Cinéma Spoutnik
︎Octobre 2022, Cinéma Spoutnik, Genève